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La traversée de l'Atlantique aux commandes d'un Boeing 747 est une sorte de routine pour Jean-Marie, pilote de ligne dans une compagnie nationale. Et rien ne semble vouloir perturber son vol en ce beau vendredi du mois d'octobre 1976.
23 Décembre 2011 12h06
Il est ravi : d'ici quelques heures, il va retrouver ses enfants et, en particulier, son fils aîné qui va fêter ses 10 ans. C'est au moment précis où il pense à ce cadeau venu de l'autre monde qu'il l'a aperçue pour la première fois. Vive, intense, immobile, une lumière semblait léviter dans le ciel ensoleillé surplombant les frontières de l'Europe.
La procédure est claire. Jean-Marie sait ce qu'il a à faire. Mais les appareils de communication ne fonctionnent plus. Il a beau essayer, pas moyen d'atteindre la tour de contrôle. Il a beau foncer vers sa destination, la lumière semble ne pas bouger. Un phénomène qui dépasse les limites du raisonnable ou, du moins, les limites de ses connaissances en physique.
Après de nombreux essais, Jean-Marie arrive à joindre un autre avion, volant vers une autre capitale européenne. Si sa première question est de s'inquiéter du bon fonctionnement de la radio, Jean-Marie reste sans voix lorsque l'autre pilote, dont le plan de vol n'a absolument rien à voir avec le sien, lui demande si, lui aussi, il voit cette lumière dans le ciel. Dans l'affirmative, le commandant de bord appelle d'autres avions.
Tous voient la lumière. Le soleil ? Il est face à eux tandis que la lumière est sur le côté. En recoupant les informations, il semble qu'elle soit même loin sur le côté.
Bonne nouvelle : la liaison avec la tour de contrôle fonctionne à nouveau. Les tours de contrôle reçoivent toutes le même message. Une sorte de panique s'est emparée des pilotes qui s'inquiètent avant de mener leur appareil à bon port.
Comme réponse, ils s'entendent dire que le 'phénomène' a été transmis aux autorités compétentes. La Force aérienne de chaque pays européen envoie des avions de chasse. Mais lorsqu'ils arrivent sur les lieux, déterminés par le croisement des données des navigateurs de chaque appareil, pas la moindre lumière, pas la moindre trace du passage d'un objet volant, identifié ou non.
A l'atterrissage, Jean-Marie et son équipage sont immédiatement pris en charge par des militaires qui ne lui indiqueront pas leur unité. Ils veulent un débriefing. Jean-Marie leur explique ce qu'il a vu, pose les questions naturelles qui lui viennent à l'esprit, mais n'obtiendra jamais de réponse. On lui intime simplement l'ordre de ne parler à personne de ce qu'il a vu.
La menace ? L'empêcher à tout jamais de voler. Au propre comme au figuré, ces hommes sont prêts à lui briser les ailes. Aujourd'hui, Jean-Marie est à la retraite et s'amuse à raconter son histoire aux amis qui lui rendent visite. On l'écoute parler. Jean-Marie raconte bien. On sourit. Il n'en faut pas plus pour lancer le débat sur les OVNIS. Jean-Marie ne sait pas ce qu'il a vu, mais sait qu'il y a une explication rationnelle à tout cela...Source:
http://www.rtl.be/loisirs/detente/paranormal/20007/un-pilote-de-ligne-face-a-des-ovnis-
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