• En utilisant les variations des temps de transits des exoplanètes causées par leurs attractions gravitationnelles mutuelles, les astronomes ont pu confirmer qu’ils observaient bien, avec le télescope spatial Kepler, 11 systèmes planétaires contenant au moins 26 exoplanètes au total.

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    C’est encore et toujours Kepler qui revient sur le devant de la scène des recherches en exobiologie. Les chercheurs de la Nasa viennent de révéler l’existence de véritables systèmes planétaires dans la Voie lactée, confirmés avec les instruments de Kepler. La remarquable série d’annonces en provenance des membres de la mission Kepler depuis un an n’est peut-être pas simplement due au fait que la mission est un remarquable succès.

    On peut en effet voir sur le site de la Nasa dédié à la sonde un petit commentaire laissant entendre que les fonds alloués aux chercheurs pour traquer des exoterres sont sur le point d’être drastiquement réduits.

    Déjà, au début de l’année 2011, le grand chasseur d’exoplanètes américain, Geoff Marcy, protestait contre la suppression des missions Terrestrial Planet Finder (TPF) et Space Interferometry Mission (SIM). TPF aurait permis de chercher des biosignatures dans l’atmosphère d’exoplanètes rocheuses d’ici une dizaine d’années.
    Notre soleil est à environ 25.000 années-lumière du centre de la Voie lactée. Le cône illustre le voisinage de notre galaxie que la mission Kepler scrute à la recherche des exoplanètes habitables.

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    On connaissait déjà l’exemple du système planétaire Kepler 11, découvert comme toujours avec Kepler par la méthode du transit planétaire. Mais voilà que les astronomes annoncent que les étoiles Kepler 25, Kepler 27, Kepler 30, Kepler 31 et Kepler 33 sont entourées d’un cortège d’exoplanètes. Au total, ce sont 11 systèmes planétaires que les chercheurs ont détectés, avec 26 exoplanètes confirmées !

    Plusieurs articles ont été publiés sur arxiv à ce sujet.

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    La méthode des variations du temps de transit

    On peut y apprendre que les astronomes appliquent actuellement une nouvelle méthode pour vérifier plus rapidement qu’ils observent bien un système d’exoplanètes. Généralement, il faut en passer par des observations au sol basées sur la méthode des vitesses radiales. Mais dans le cas présent, c’est la méthode des variations des temps de transit (Transit Timing Variations ou TTVs en anglais) qui permet de consolider les affirmations des chercheurs.


    L'idée consiste à mettre à profit les forces gravitationnelles qui accélèrent ou décélèrent les exoplanètes selon leur position mutuelle autour de leur étoile hôte. Ces forces que les exoplanètes exercent les unes sur les autres font donc varier légèrement les périodes de transit, ce qui permet, si l’on sait s’y prendre, de vérifier qu'il existe bien plusieurs exoplanètes.

    Les astronomes ont pu dresser un tableau comparatif de ces systèmes planétaires entre eux et avec le Système solaire. Ils ont ainsi découvert que parmi les exoplanètes découvertes, 15 ont des tailles comprises entre celle de la Terre et celle de Neptune. Les rayons mesurés seraient compris pour les 26 objets découverts entre 1,5 fois celui de la Terre et un rayon plus grand que celui de Jupiter. Quant aux rayons de leurs orbites, ils sont tous inférieurs à celui de Vénus autour du Soleil, ce qui correspond à des périodes orbitales comprises entre 6 et 143 jours.

    Source:

    http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/kepler-11-nouveaux-systemes-planetaires-au-tableau-de-chasse_36341/


  • Au cours de la conquête spatiale, Soviétiques et Américains se sont trouvés confrontés à un problème déconcertant : leurs vaisseaux spatiaux étaient fréquemment «accompagnés» ou surveillés par d'étranges objets aux capacités technologiques stupéfiantes. Il ne s'agit pas là de l'affirmation de quelque esprit fantaisiste mais ce qui ressort d'innombrables déclarations de cosmonautes et de techniciens.

     

    Côté russe, la chute de l'empire soviétique a permis de prendre connaissance de nombreux documents inédits et hautement révélateurs. Côté américain, ce sont des astronautes, et non des moindres puisque plusieurs sont allés sur la lune, qui ont osé briser le mur du silence. Après une longue enquête dans les archives des deux pays, Jean-Claude Sidoun nous présente un compte rendu détaillé et pour le moins surprenant de la face cachée de la conquête spatiale. «Ils n'étaient pas seuls là-haut».

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    Documents à l'appui, l'auteur le démontre et nous livre les perspectives qui découlent en toute logique de ce constat. Jean-Claude Sidoun est ufologue. Il a publié 'Ovni guerre froide - le grand jeu' chez JMG éditions.

    Ce livre paraîtra le 16 février 2012.

    http://www.amazon.fr/Ovnis-Dans-lEspace-Jean-Claude-Sidoun/dp/2351851099

    L'auteur sera l'invité du Repas Ufologiques de Paris du 06 Mars 2012.


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