• Vous avez été nombreux à nous envoyer plusieurs questions sur les newsletters d'ODH Tv comportant des vidéos que vous recevez lors d'une mise à jours.

    Comment ouvrir la vidéo? Pourquoi il n'y a pas de vidéo? Pour que des liens en bleu? Nous allons vous aider à ouvrir ces mails et vous expliquer comment ça marche.

    Lorsque vous recevez une newsletter-vidéo vous avez logiquement ceci:

    NewsLetter ODH 0
     
    Vous avez dans votre mail, un gros rectangle noir-gris et des liens en bleu foncé. Mais où est la vidéo?
    NewsLetter ODH 1
    (1) Si vous cliquez sur le gros rectangle noir-gris vous serez redirigé vers la page principale du blog ODH Tv. (voir image ci-dessus)
     
    En fait à ce moment-là vous avez qu'une seule chose à faire:
    Il vous faut cliquer sur le lien souligné en bleu foncé, vous serez redirigé vers la vidéo sur wat-tv et vous pourrez la voir. (2 voir image ci-dessous)
    NewsLetter ODH 2
     
    Si vous avez d'autres questions, des problèmes sur le blog, nous contacter à:
    odhmobile@hotmail.fr
     
    Cordialement
    O.D.H Tv.

  • AM
     
    Nous vous informons que la nouvelle édition du magazine virtuelle A.T.O.M.E est en ligne.

    Consultable à cette adresse:

    http://paper.li/ODH_Tv/1342890761


  • Le 7 juillet 2012, les Ministères fédéraux de l'économie (BMWI), de l'environnement (BMU) et de la recherche (BMBF) ont annoncé dans un communiqué commun le lancement de 60 projets phares de l'Initiative gouvernementale sur le stockage de l'énergie, dont 40 seront financés par le BMBF.

     Un an après l'annonce des trois Ministères de consacrer 200 millions d'euros à la recherche sur le stockage de l'énergie, le coup d'envoi a été officiellement donné pour différents projets dits "projets phares". Ceux-ci sont regroupés autour de trois grands thèmes :
     - "couplage vent-hydrogène"
     - "batteries dans les réseaux de distribution"
     - "autres thèmes du stockage de l'énergie" (stockage de la chaleur).

    battery

     Les projets autour du thème "stockage stationnaire de l'énergie" seront sélectionnés plus tard dans l'année.

     Sous ces grandes enseignes, les projets sont très divers (recherche en géologie, thermochimie, matériaux...) et font intervenir des équipes pluridisciplinaires, et en particulier des équipes de jeunes chercheurs (Nachwuchsgruppen). Les grands centres de recherche comme le Centre allemand de recherche aérospatiale (DLR, basé à Cologne en Rhénanie du Nord-Westphalie) ou le Centre de Jülich (Rhénanie du Nord-Westphalie) travailleront en partenariat avec des universités plus modestes comme l'Université Christian-Albrecht de Kiel (Schleswig-Holstein) ou l'Université de Rostock (Mecklenburg-Poméranie occidentale) et de petites entreprises. La liste des projets et partenaires est disponible sur internet.

    Sources:

    http://www.bmbf.de/pubRD/projektliste_speicherinitiative.pdf

    http://www.bmbf.de/press/3310.php

    http://www.bmbf.de/de/16753.php

    http://www.science-allemagne.fr/


  • Le CNES, l'agence spatiale française, et des laboratoires de recherche français et européens fourniront le sismomètre SEIS (Seismic Experiment for Interior Structures), l'instrument principal de la mission martienne InSight (voir notre récente news), sélectionnée par la Nasa le 20 août 2012 dans le cadre de Discovery, son programme de missions d'exploration du système solaire.

    Proposée par le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA, InSight (Interior Exploration using Seismic Investigations, Geodesy and Heat Transport) a pour but de déployer, pour la première fois, une station géophysique sur le sol de la planète rouge afin d'étudier la structure et la composition de l'intérieur de Mars. L'objectif est de mieux comprendre la formation et l'évolution de Mars en effectuant des mesures sur sa structure interne, encore mal connue.

     Grâce à l'utilisation d'instruments géophysiques sophistiqués, InSight mesurera l'activité sismique de Mars, le flux de chaleur interne et les subtiles variations de rotation de la planète.

    mars2_1



     L'instrument SEIS écoutera "battre le cœur" de la planète, en prenant des mesures précises des séismes et autres activités internes, afin de mieux comprendre l'histoire de Mars et sa structure. Véritable défi technologique, ce sismomètre sera développé par le CNES, l'Institut de physique du globe de Paris (CNRS / Université Paris Diderot (1)) et plusieurs laboratoires européen et américain: l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (ETH), l'Institut Max-Planck de recherche sur le système solaire (MPS) de Lindau, l'Imperial College à Londres, l'Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace (ISAE) à Toulouse et le JPL à Pasadena (Californie). Plusieurs autres laboratoires du CNRS et d'universités françaises seront aussi associés à l'analyse des données (LPG Nantes, IRAP Toulouse et GéoAzur en particulier).

     La charge utile scientifique d'InSight comprendra également l'instrument Heat Flow and Physical Properties Package (HP3) fourni par l'agence spatiale allemande (DLR). Cette sonde creusera jusqu'à 5 mètres dans le sous-sol martien, afin de mesurer le flux de chaleur de la planète et d'en déduire sa vitesse de refroidissement et donc la puissance dissipée par le moteur planétaire.

    InSight sera lancée en mars 2016 et doit arriver à la surface de Mars en septembre 2016. Une fois posée, la sonde déploiera le sismomètre sur le sol de Mars qui passera deux ans (une année martienne) à sonder les processus internes de la planète rouge et son activité sismique.

     En France, InSight associera également la génération de lycéens et d'écoliers du réseau "Sismo à l'école" qui, tout comme les scientifiques, recevront des données de la mission martienne.

     La sélection d'InSight donne un nouvel élan à l'exploration martienne après le succès de l'atterrissage de Curiosity sur Mars le 6 août dernier. Ce robot emporte deux instruments, SAM et ChemCam, avec une importante contribution du CNES et de laboratoires français: l'Institut de recherche en astrophysique et planétologie (CNRS / Université Toulouse 3) et le Laboratoire atmosphères, milieux, observations spatiales (CNRS / UVSQ / UPMC), soutenus techniquement et financièrement par le CNES.

     "La sélection d'InSight par la NASA est pour le CNES et l'IPGP la concrétisation de nombreuses années d'efforts pour déployer sur une planète un sismomètre large bande, fruit d'un lent mûrissement technologique. Le choix de cet instrument par le JPL est la preuve qu'il est le meilleur pour sonder l'intérieur des planètes", précise Francis Rocard, responsable des programmes d'exploration du système solaire au CNES.

     Pour Philippe Lognonné (Université Paris Diderot), responsable scientifique du sismomètre "35 ans après les premiers sismomètres Géoscope Large Bande sur Terre et après 20 ans d'efforts pour exporter ces derniers sur Mars, ce premier observatoire géophysique martien nous permettra de mieux comprendre l'évolution de Mars comparée à la Terre."

    Source:

    http://www2.cnrs.fr/presse/communique/2749.htm