• http://youtu.be/Vk1NwJQbcWY

    Conférence sur "les secrets du mécanisme d'Anticythère: un calculateur vieux de 2000 ans", par Claude Darnon, historien des sciences et auteurs de nouvelles et dramaturge, et vice-président de l'observatoire de Rocbaron, filmée au 17ème Festival d'astronomie de Rocbaron dans le département du Var.

    - Son site internet:
    http://claude-darnon.webnode.fr/

    - Site internet de l'Observatoire de Rocbaron:

    http://www.observatoire-rocbaron.com/

    - En partenariat avec Astropléïades:

    http://astropleiades.e-monsite.com/


  • http://youtu.be/8YxQ2KttPQo

    La 14ème édition d'ODH interview vous est présentée par Gilles Thomas.

    L'invité est Christian Morgenthaler, ufologue alsacien et président de l'association S.P.I.C.A (Sciences et Phénomènes Insolites du Ciel et de l'Aéronautique).

    SPICA est une association qui regroupe toutes ces disciplines sous un même toit. Astronomes, passionnés d'aéronautique et d'espace, météorologues et ufologues peuvent cohabiter dans un respect mutuel. Le partage des recherches et des idées par un travail scientifique et objectif ne peut que faire avancer la connaissance.

    Site internet de l'association:

    http://www.spica.org


  • Le Japon et l'Ukraine sont les deux seules nations à ce jour touchées par un accident nucléaire sur leur sol à Tchernobyl en 1986 et Fukushima en 2011. Les deux nations, par le biais d'une collaboration entre l'Université de Tokyo et l'Agence spatiale ukrainienne, ont signé un accord établissant une joint-venture. Cette dernière aura pour but de lancer un petit satellite.

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    Il est destiné à l'observation depuis 600km d'altitude des régions de Fukushima et de Tchernobyl : en plus de recevoir des signaux de capteurs de radioactivité installés dans ces régions, il transmettra toutes les deux heures les images satellites qu'il recevra aux opérateurs au sol. Le satellite sera développé au Japon au sein de l'université de Tokyo, l'Ukraine sera elle chargée de la mise en place du lanceur. Il devrait être lancé en 2015.

    Source:

    http://www.afpbb.com/article/politics/2964368/11245848


  • Le 5 juillet 2013, à l'occasion du rassemblement de la Société Royale d'Astronomie britannique (Royal Astronomical Society, RAS) à Saint Andrews, en Ecosse, l'astrophysicienne Jayne Birkby a présenté les résultats d'une étude réalisée par une équipe de chercheurs de l'université de Leyde au cours de laquelle ils ont pu détecter des molécules d'eau dans l'atmosphère d'une exoplanète. Cette découverte constitue donc un pas de plus dans la direction de la découverte d'autres planètes que la nôtre pouvant abriter la vie.

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    Depuis le début des années 1990, le nombre d'exoplanètes identifiées n'a cessé de croitre et, selon la NASA, il s'élève aujourd'hui à près de 1000. Cependant, peu d'entre elles se situent dans des zones considérées comme potentiellement habitables, c'est-à-dire ni trop chaudes ni trop froides pour être susceptibles d'abriter de l'eau liquide, condition nécessaire à la présence de la vie. Or, les moyens d'observation utilisés jusqu'à présent sont encore trop limités pour permettre de vérifier la présence d'eau dans l'atmosphère d'une planète qui se trouve à plusieurs années-lumière de la Terre. L'intérêt de l'étude réalisée par l'équipe néerlandaise est de montrer qu'il est cependant possible de détecter l'empreinte laissée dans le spectre lumineux par des molécules d'eau, sans avoir recours à des télescopes spatiaux ultra-puissants.

    La méthode classique pour détecter la présence d'une exoplanète consiste à déterminer la façon dont sa gravité influe sur l'étoile autour de laquelle elle accomplit sa révolution. Les chercheurs de l'université de Leyde ont procédé de la façon inverse en étudiant l'influence gravitationnelle d'une étoile sur la planète. Pour cela, ils ont utilisé le spectrographe haute résolution (CRyogenic high-resolution InfraRed Echelle Spectrograph, CRIRES) du Très Grand Télescope (Very Large Telescope, VLT) de l'Observatoire Européen Austral (European Southern Observatory, ESO) pour détecter les traces laissées par l'eau d'une exoplanète dans son atmosphère. L'exoplanète en question, baptisée HD 189733b, est située à 63 années-lumières de la Terre et sa température dépasse les 1000°C.

    Récemment, cette technique avait déjà été utilisée pour mettre en évidence la présence de molécules de monoxyde de carbone sur cette même exoplanète. "Nous savions que cela fonctionnait pour des molécules simples sur des longueurs d'ondes plus courtes, mais pour être en mesure de traquer l'eau, nous avons dû explorer des longueurs d'ondes plus importantes, là où l'atmosphère terrestre commence vraiment à bloquer les signaux que nous recherchons. Nous n'étions pas certains que nous trouverions quoi que ce soit. Et nous avons été ravis lorsque le signal a surgi ! Cela signifie que nous pouvons encore faire bien davantage avec cette technique ", explique Jayne Birkby.

    Après l'eau, cette technique ouvre en effet désormais la voie à l'identification d'autres molécules liées à la vie comme l'oxygène et le méthane, notamment lorsque le Télescope Géant (European Extremely Large Telescope, E-ELT) de l'ESO entrera en service dans le désert d'Atacama au Chili à partir de 2020.
     
    Source:

  • http://youtu.be/t0LR0hXLTOk

    Conférence au 17ème festival d'astronomie de Rocbaron sur l'histoire des représentations du ciel par Jean-Michel Faidit (écrivain, mathématicien de formation, Docteur en histoire de l'astronomie).