• Pour Signer la pétition mondiale pour la divulgation du phénomène Ovni, et le vote d"une résolution à l'ONU:

    Allez sur ce lien:

    http://www.thepetitionsite.com/takeaction/529287855


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  • De nombreux officiers ont fait des dessins de vaisseaux inexpliqués qu’ils ont vu, et l’un d’eux a envoyé une vidéo prise une patrouille de police de ce qu’il croit être un OVNI au-dessus de Skipton, North Yorkshire.

    L’officier de la circulation Mr Heseltine, 48 ans, a dit : "Il y a des milliers de témoins crédibles, et ici nous avons des officiers de police travaillant ou à la retraite qui témoignent au sujet de vaisseaux et lumières étranges.

    "Ils sont entrainés à rapporter des choses de manière structurée, chronologique, et selon mon expérience c’est exactement ce qu’ils font, donc je pense qu’ils font de très bons témoins.

    "Les officiers de police travaillent à toute heure et donc nous avons des chances accrues d’observations d’OVNIs. C’est l’une des raisons pour laquelle j’ai créé cette base de donnée pour enregistrer et collecter leurs histoires. Je voulais simplement tenter d’apporter de la crédibilité à ce sujet."

    Mr Heseltine, qui travaille pour le British Transport Police à Leeds, a ajouté 44 cas impliquant 108 officers à sa base de données lors de ces derniers 12 mois.

    Sa fascination pour toute chose extraterrestre est dû à sa première observation d’OVNI à l’âge de 15 ans, suivie par deux autres en dehors des heures de service, la seconde étant survenue au-dessus de sa maison près de Wakefield, West Yorkshire, en 2007.

    Son répertoire, qui se base aussi sur la recherche d’archives de journaux, contient 256 rapports impliquant 608 officiers de la police britannique, datant d’entre 1901 et 2007. Sur les 44 derniers cas, quatre sont des Rencontres Rapprochées du Premier Type (où un objet est à moins de quelques centaines de mètre du témoin), cinq sont des disques sous la lumière du jour, et 35 sont des lumières nocturnes.

    Il y a eu, pour six de ces témoignages, cinq ou davantage d’officiers témoins et 14 impliquent plusieurs OVNIs. 73% de tous les cas pendant les heures de service sont des observations faites par plusieurs officiers, parfois il y a jusqu’à 20 témoins en même temps.

    Mr Heseltine, un officier de la police depuis 18 ans, a ajouté : "Je suis d’accord qu’il y a seulement un petit pourcentage d’observations qui sont réellement substantielles.

    "Cependant, je suis absolument certain que trois pour cent des cas restants représentent une présence extraterrestres sur Terre. Il y a une quantité énorme de données factuelles pour soutenir cette vue."

    Source:

    http://www.sott.net/articles/show/156783-UFO-Shocks-for-UK-Police


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  • Un mystère macabre qui apparait dans le monde a frappé à nouveau dans une ferme reculée du Saskatchewan.

    Le cas le plus récent de mutilation de bétail est survenu dans la région de Stockholm, à juste quelques yards de là où dormaient Heather Harris et son mari. Harris était dehors pour nourrir les vaches quand le jour d’après elle a fait son effrayante découverte.

    C’est dur de décrire à quoi elle ressemblait...," a dit Harris, se rappelant du corps de la vache. "J’ai dit à mon mari, ’Tu ne voudrais pas voir ça.’ "

    La vache prégnante n’avait plus de rectum, d’organes sexuels, de pis, de nombril, de lèvres du haut et bas, et il lui manquait aussi une oreille et un oeil. La langue de l’animal semblait avoir été coupée.

    Harris a dit qu’il n’y avait pas de signe de sang dans la zone, et toutes les blessures semblent être des incisions précises. Harris a dit qu’il n’y avait pas de signe de confrontation dans la zone, et pas de trace de pneu, de pas ou de sang ou que ce soit autour de l’animal.

    Le scénario macabre semble être un cas classique de "mutilation de bétail," une fait bizarre attribué diversement à des animaux prédateurs, aliens, agents gouvernements, cultes et d’autres sources élusives.

    Les mutilations ont été rapporté au public aux États-Unis dans les années 60 et ont continué à survenir à la surface de la planète depuis lors — y compris de temps à autres à Saskatchewan.

    Les mutilations documentées sont remarquablement similaires et impliquent souvent l’ablation d’une oreille, de l’oeil de l’animal, des pis et des organes sexuels, de la langue et des lèvres. [NdT : On peut supposer que ce sont les parties les plus "énergisées", meilleurs à la consommation - avec le sang/lymphe]. Les mutilations se caractérisent aussi par l’absence de sang et ce qui semble des incisions et coupures propres.

    De nombreuses personnes [NdT : "nombreuses personnes" ? Qui donc ?] qui ont étudié les mutilations de bétail assurent que les morts sont imputables à des sources entièrement naturelles, en particulier aux effets de prédateurs et charognards, avec les effets de la déshydratation et décomposition.

    Mais d’autres ne sont pas si sûrs. Certains supposent que les mutilations sont l’œuvre de vaisseaux aliens conduisant des expériences ou récoltant de l’information génétique des animaux, et d’autres croient qu’ils sont conduits par des cultes ou Satanistes qui utilisent le sang des animaux et des parties organiques dans des rituels.

    D’autres maintiennent que les mutilations font partie d’une conspiration gouvernementale — testant des armes laser haute-puissance ou faisant des recherches secrètes sur les radiations, la maladie de la vache folle ou des maladies bovines qui pourraient se répandre parmi les humains.

    Après avoir regardé des photos de ce qu’il reste de l’animal d’Harris, le vétérinaire Dr. Kathleen Francis a dit qu’il était choqué.

    "Tout ce qui peut faire ce genre d’incision demande une certaine compétence," a dit Francis, qui est vétérinaire depuis 11 ans. "Il n’y avait absolument pas de sang autour de la carcasse ce qui était vraiment étrange, vous savez, pour faire ce genre de coupes sans perdre de sang quelque part au sol."

    Francis a exclu l’hypothèse de prédateurs comme cause possible de la mort de la vache, notant qu’il n’y avait pas de morsure ou marques de griffes sur la carcasse. Elle a dit que les blessures exsangues pourraient signifier qu’une sorte d’unité de cautérisation électrique est impliquée.

    "Je ne suis pas convaincu au point de croire les théories extraterrestres, mais je pourrais certainement penser à une sorte de culte ou ce genre de chose. ..." a-t-elle dit. "Cela vous fait réfléchir — il se passe des choses étranges ici."

    Harris a dit que l’expérience l’a choqué et qu’elle ne veut plus sortir seule la nuit. Mais après avoir lu certaines des théories, Harris dit qu’elle ne sait toujours pas quoi penser des faits bizarres.

    "Je sais avec ce que j’ai vu sur le Net qu’ils parlent de cultes ou extraterrestre ... mais je ne sais pas," a-t-elle dit. "Je sais juste que c’est très, très effrayant."

    Source:

    http://naturalplane.blogspot.com/2008/05/pregnant-cow-mutilation-reported-in.html


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  • Le 7 Mars 1977, à 20:34, le Major René Giraud avait engagé le pilote automatique d'un bombardier à capacité nucléaire supersonique Mirage IV qu'il pilotait avec le capitaine Jean Paul Abraham comme navigateur. Ils revenaient d'un exercice de navigation de nuit vers la base aérienne de Luxeuil et étaient dans la région de Chaumont dans le département de Haute Marne, volant à une altitude de 9750 mètres et à une vitesse de Mach 0,9 dans d'excellentes conditions de visibilité.

    Ils ont remarqué une lumière brillante venant droit sur leur Mirage sur un cours de collision avec eux, et la première pensée qu'ils eurent fut que ce pouvait être un chasseur à réaction, mais quand ils ont transmis par radio au contrôle au sol de Contrexéville pour le rapporter et en obtenir une identification, ils ont appris que le radar au sol n'a rien montré et qu'aucun autre avion n'était connu pour être dans ce secteur. Le contrôleur au sol leur a demandé de vérifier leur oxygène, ce qui indique qu'il a probablement pensé que l'équipage pourrait avoir des hallucinations.

    La lumière a semblé de plus en plus grande au fur et à mesure qu'elle approchait leur avion par leur arrière droit. Le pilote volait à Mach 0,98 et a fait un virage vers la droite puis vers la gauche pour s'assurer de la nature de la lumière. Pendant qu'ils effectuaient ces manoeuvres, tous deux ont pu distinguer que la lumière était à l'avant d'un objet massif sombre. En dépit de leur manoeuvre évasive, l'objet non identifié est parvenu à rester exactement derrière eux pendant quelques secondes, une situation très dangereuse si l'objet inconnu avait eu des intentions hostiles. Puis l'objet a fait un virage vers le Nord-Ouest à une vitesse estimée de Mach II, et est parti à la gauche du Mirage IV.

    Giraud a indiqué plus tard que bien que l'objet ait été parti à ce moment-là, il s'est senti comme observé, et a dit a Abraham: "Tu va voir, il va revenir."

    Environ 45 secondes plus tard, un objet non identifié de vol différent ou exactement semblable réapparaissait à l'arrière du Mirage, et Giraud a exécuté une deuxième fois sa manoeuvre évasive, virant de manière encore plus serrée vers la droite à 6.5G puis de l'autre côté vers la gauche, tandis que l'OVNI exécutait également le même passage que le premier ou la première fois, et a alors filé au loin.

    Le contrôle au sol ne pouvait pas toujours pas détecter quoi que ce soit sur le radar, et le Mirage est alors est revenu sans problèmes à la base aérienne de Luxeuil.

    Le numéro 1 des numéros spéciaux du magazine Français VSD (www.vsd.fr) traite du cas. René Giraud y explique à l'auteur de l'article qui l'a interviewé:

    "Ce soir-là, commandant au sein de l'escadron de bombardement Arbois, je viens d'effectuer un exercice de nuit à bord d'un bombardier Mirage IV avec mon navigateur, le capitaine Jean-Paul Abraham. On rentre sur Luxeuil à 9750 m d'altitude et à environ 1000 km/h. Nous sommes à la verticale de Chaumont quand une lueur arrive sur notre droite. Elle est identique au phare de reconnaissance d'un chasseur Mirage III. Le contrôleur radar de Contrexéville dort-il? L'objet continue de s'approcher, au même niveau que nous... Pas normal, il devrait rester en dessous. Je préviens le contrôleur au sol, mais il me dit qu'il n'y a absolument rien. Et ça se rapproche... Ce n'est pas un avion, ce n'est pas un missile. Je commence doucement à évoluer à droite. Et il reste à l'intérieur de mon virage, collé à ma trajectoire. Aussitôt, je vire sec. Cet objet est en train de nous "bouffer" carrément à moins de 1 km en secteur arrière comme lors d'une passe de tir! Il vole beaucoup plus vite que moi... Et ça va durer ainsi 40 secondes! Je ne peux absolument rien faire... Je ralentis mon virage, et ce truc part à une vitesse inouïe! 30 secondes après avoir repris le cap sur la base, je dis à mon navigateur : "Fais attention, ça revient!..." Je sens qu'on m'observe! Je vire très sec à droite dès le départ, après avoir mis les réacteurs à fond. L'objet nous refais le même cinéma. Et là, il arrive très près. J'ai une impression de forme et de masse imposante derrière, beaucoup plus grosse que mon Mirage. Jean-Paul tente de prendre des photos. Je renverse légèrement et la lumière repart vers l'Ouest avec une accélération phénoménale, en produisant une espèce de traînée... Quand on s'est posés à Luxeuil, on était sonnés..."
    Source: VSD Hors Série OVNIS N.1.

    Les discussions dans l'Armée de l'Air au sujet de l'incident ont précisé que l'objet volant non identifié devait obligatoirement avoir été supersonique, bien qu'aucun bang de passage du mur du son n'ait été rapporté dans le secteur à ce moment-là, qu'aucun autre trafic connu n'était dans le secteur, et qu'il était fortement anormal que l'OVNI ne soit pas apparu sur l'écran radar du contrôle au sol.

    Toutes les conversations par radio entre l'équipage et le contrôle au sol ont été enregistrées et gardées pendant un certain temps, ce qui a permis une transcription écrite.

    Giraud, qui est sorti de l'Armée de l'Air avec le grade de colonel, s'est exprimé publiquement en plusieurs occasion, y compris sur les TV nationales françaises, au sujet de cette expérience. Tandis qu'il n'est pas enclin à spéculer sur la nature de l'objet, il a précisé que l'OVNI a exécuté des manoeuvres actives en réaction à la présence du Mirage, et des manoeuvres réactives quand le Mirage IV a entamé des manoeuvres évasives, comme si une intelligence était au commandes de l'OVNI.

    Le cas est listé dans le célèbre catalogue de Dominique Weinstein concernant les quasi collision entre avions et OVNIS.

    Le cas est également listé et décrit parmi d'autres rencontres aéronautique d'OVNIS dans le fameux rapport français de l'association COMETA, 1999, un rapport sur les OVNIS par un groupe d'anciens hauts experts en matière militaires et anciens hauts gradés de l'Armée de l'Air et de l'institut français des hautes études de la défense, et d'autres, prévu pour être lu par le Président Français Jacques Chirac et son premier ministre Lionel Jospin pour les alerter au sujet du besoin de considérations sérieuses des implications en matière de défense du phénomène OVNI comme manifestation fortement probable d'une présence extraterrestre.

    REFERENCES:
    "The UFO evidence - Volume II", par Richard Hall, page 95.
    "Les OVNI et la défense: à quoi doit-on se préparer?" association COMETA, Page 9.
    "OVNIS (n° 1) - LES PREUVES SCIENTIFIQUES" Hors-Série VSD, Juillet 1998, "Témoignages: Pilotes & Scientifiques Parlent" Encadré: Colonel René Giraud : "Je me sentais observé", page 28, Auteur: Bernard Thouanel.
     


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  • Une femme, professeur de français, et son mari, professeur de musique, campaient dans le sud de la France à Saint-Jean du Gard lorsqu'elle a vécu une rencontre rapprochée du troisième type.

    A part le fait qu'ils aient demandé à leur voisinage s'ils avaient vu quelque chose également, il n'en ont parlé qu'à un ami, un étudiant. Il se trouvait que cet étudiant s'intéressait au phénomène OVNI depuis quelques années, et qu'ils savaient que lui au moins aurait l'esprit ouvert à ce sujet et les écouteraient. L'étudiant a fait mieux que cela; il a enregistré leur récit sur bande magnétique.

    Deux ans après, une enquête de Jean-Paul Guguen, de la station O.R.T.F. de Poitiers, permet de découvrir cet enregistrement que l'étudiant avait gardé au fond d'un tiroir, parmi ses archives personnelles, et il a alors été diffusé le 27 février 1974 à 20:30 dans l'émission "Pas de Panique", de Claude Villiers, Olivier Nanteau et Monique Desbarbat, à la radio nationale France-Inter.

    Voici la transcription de ce que la professeur de français a enregistré sur cette bande :

    "Ce que j'ai vu s'est passé à Saint-Jean-du-Gard, le mercredi 9 août 1972, vers 2 heures et demie du matin. Nous étions rentrés assez tard cette nuit-là et campions chez des amis ayant un jardin en terrasse. Ce jardin se trouve sur la route de Nîmes, à la sortie de Saint-Jean-du-Gard. Nous étions sur l'une des collines bordant la vallée. Je suis sortie vers 2 heures et demie du matin parce que j'entendais les flonflons de la fête à Saint-Jean-du-Gard."
    "Au-dessus de la ville se distinguait une lueur assez vive, produite par les lumières de la fête. Mais, de notre côté, le ciel restait sombre. Il y avait de gros nuages et absolument aucune lumière. Tout était éteint dans les chemins qui dominaient sur la colline. Donc, je prenais le frais lorsque mon regard fut attiré par une sorte de boule blanche, de la grosseur d'une Isotta Fiat. Elle m'a intriguée: elle était très brillante. Je ne comprenais pas pourquoi cette voiture pouvait être aussi brillante alors que tout était sombre autour de là et qu'il n'y avait pas une seule lumière. Cette voiture était garée dans un petit parc-autos réservé aux habitants des trois ou quatre villas construites sur la colline."
    "J'observais cette voiture phosphorescente en essayant de comprendre pourquoi elle était si lumineuse, lorsque j'entendis marcher derrière moi. Des pas bizarres, pas tellement rapprochés, pas tellement lourds non plus, comme si un enfant avait foulé des herbes sèches en progressant assez régulièrement et lentement. Ayant entendu ces pas, je me suis retournée vers la gauche: à trois ou quatre mètres, une forme était tournée vers moi. Je ne veux pas dire "un être me regardait", parce que, sur le moment, je n'ai pas ressenti cette impression."
    "Cette forme mesurait environ un mètre vingt de haut. Elle était absolument noire. Fait curieux, ce corps tenait du parallélépipède. Il me semblait, que cette forme était en bois de trente à quarante centimètres d'épaisseur. Ce parallélépipède était surmonté d'une forme ovoïde à la place de la tête. Deux ronds blancs posés à la hauteur des yeux, deux ronds blancs de cinq centimètres de diamètre se détachaient seuls de cette masse noire, tournée vers moi, immobile. Je ne voyais ni les pieds ni les jambes, disons, ce qui devait lui servir à marcher, puisque les grandes herbes les cachaient."
    "Je n'oublierai jamais l'impression éprouvée: une peur morbide, incroyable, pas naturelle. Elle ne venait pas de moi; elle semblait émise par la forme entrevue, comme si elle voulait me neutraliser. Je n'avais jamais ressenti cela auparavant. J'ai eu cette sensation durant trois secondes environ, le temps qu'a duré ma vision. La nature paraissait morte, comme figée, autour de cette "chose». On avait l'impression que cet être exerçait un pouvoir extraordinaire sur tout ce qui l'entourait, que ce soit un être animé ou des plantes. Tout était réduit au même niveau, C'est-à-dire figé, je le répète."
    "Ensuite, je suis rentrée d'un seul coup dans la tente pour rejoindre Michel, mon mari. Sur le moment, je n'avais pas fait de liaison entre cet être et la forme ronde phosphorescente entrevue sur le parc autos. Le lendemain, j'ai commencé à comprendre qu'il y avait un rapport entre les deux. Après cette courte, mais saisissante vision, nous avons dormi."
    "Le lendemain matin, nous ne voulions pas en parler mais finalement nous avons demandé aux habitants des villas voisines, s'ils n'avaient rien vu d'anormal. Nous nous sommes heurtés à une incompréhension totale. Tous restaient enfermés dans leurs préjugés. Ils essayaient de rationaliser en nous affirmant: "Ce que vous avez vu, ce sont des petits graviers qui brillaient dans la nuit ou des lumières de vélomoteurs qui passaient." J'étais sûre que cela n'avait rien à voir! Cependant, une dame a réfléchi. Elle nous a dit: "Tiens, c'est vrai, sur le coup de 2 heures et demie du matin, j'ai entendu marcher sur ma terrasse." Sa maison était située à trente mètres de notre tente, un peu plus bas. Mais cette personne n'est pas sortie pour aller voir ce fameux rôdeur. Elle s'est rendormie. Les autres sont restés sceptiques. Nous nous sommes heurtés à des murs."
    Il se trouve que le reporter, Jean-Paul Guguen, était parvenu à localiser ce couple de professeurs, et ils ont été invité à l'émission, deux ans après les faits, donc. Sans qu'on leur ait donné à entendre la bande enregistrée par l'étudiant deux ans plus tôt, ils ont parlé de l'événement à nouveau, répondant aux questions de Jean-Paul Guguen :

    " - La tente était derrière moi. J'entendais marcher et je croyais que mon mari était sorti ou bougeait à l'intérieur de la tente. Je me tourne d'un quart de tour sur la gauche, et là, sur la même terrasse que la tente, je vois à environ cinq mètres, quelque chose. En fait, je ne peux pas dire quelque chose parce que j'avais l'impression qu'il y existait une vie. J'ai vu quelqu'un ou quelque chose qui me regardait, ou du moins qui était tourné vers moi et ne bougeait pas. Imaginez un morceau de sucre que vous peignez en noir; vous mettez dessus une tête bien ovale. Le tout pas brillant, noir mat. A la place des yeux, deux disques blancs, très grands. Et c'est tout. Pas de bouche, pas de nez, pas de bras. Je n'ai pu voir s'il avait des jambes parce que de grandes herbes folles s'élevaient assez haut.. Il mesurait à peu près un mètre vingt de haut. "
    " - Aviez-vous l'impression qu'il vous fixait?"
    " - Je ne veux pas dire qu'il me fixait, parce qu'il n'y avait pas de regard. Il y avait simplement une tête tournée vers moi, mais avec une attitude très figée. J'ai eu l'impression qu'il se passait quelque chose. Que la nature s'était arrêtée de vivre."
    " - Combien de temps avez-vous regardé cet humanoïde?"
    " - Cela a duré à peine quinze secondes. J'ai eu peur: je me suis précipitée dans la tente et j'ai fait un bond énorme."
    Jean-Paul Guguen écoute ensuite le mari:

    " - J'étais allongé dans la tente; d'un seul coup j'ai vu ma femme surgir dans la tenté, d'un bond énorme. Elle m'a dit: "Je viens de voir quelque chose d'épouvantable, d'affreux!" Je n'ai pas compris ce qu'elle avait vu mais j'ai compris qu'elle venait de voir quelque chose d'exceptionnel."
    " - Pourquoi n'êtes-vous pas sorti?"
    " - Elle avait le visage littéralement déformé par la peur. Je n'ai pas eu le courage de sortir. J'ai fermé la tente de l'intérieur. Nous avons attendu en écoutant."
    La professeur poursuit :

    " - Quand j'ai compris que c'était un petit humanoïde que j'avais vu, je n'ai pas voulu sortir car j'avais lu que des mouvements de frayeur de notre part pouvaient être mal interprétés par eux."
    " - Si je vous comprends bien, vous étiez déjà conditionnée par vos lectures?"
    " - Non, je n'ai pas pensé à un extraterrestre ou à une soucoupe volante tout de suite. J'ai eu d'abord très peur et je suis restée sous le coup de la frayeur pendant dix minutes. Après seulement, j'ai commencé à réfléchir et j'ai fait le lien avec la forme ronde et lumineuse vue en bas, sur le parc-autos."
    " - Le lendemain matin, avez-vous éprouvé la curiosité d'aller voir les traces éventuelles?"
    " - Oui. Nous avons repéré les endroits. D'abord, près de la tente il y avait de l'herbe foulée. Mais ce n'était pas significatif, parce que des personnes auraient très bien pu imprimer ces traces. En bas, sur le parc autos, nous avons cherché des traces : en vain."
    Son mari poursuit :

    " - Quand nous avons raconté notre histoire, le lendemain, une personne qui habitait à cinquante mètres de nous s'est souvenue que cette nuit-là, à 2 heures et demie du matin, elle avait entendu des pas sur sa terrasse. Elle avait failli se lever, pensant que c'était un rôdeur. Finalement, elle s'était rendormie."
    Jean-Paul Guguen demande à la professeur :

    " - Si, demain, vous aperceviez à nouveau un humanoïde, pousseriez-vous plus loin l'expérience? Tenteriez vous d'entrer en contact?"
    " - Pour ma part, certainement."
    " - Sans aucune crainte?"
    " - Cette fois non. Disons tout de même que si c'était dans les mêmes circonstances, la nuit, j'aurais peut-être les mêmes réactions de frayeur. Mais si c'était en plein jour et si je le voyais descendre d'une soucoupe et venir vers moi d'une manière beaucoup plus brutale et soudaine, je pousserais la rencontre plus loin, par curiosité."
    " - Pensez-vous que la découverte de ces êtres apporte quelque chose à la science?"
    " - Je ne pense pas que ce soit à la science, mais plutôt à chacun d'entre nous. Cela nous permet d'avoir l'esprit plus ouvert, d'élargir notre champ de vision et une manière de vivre. Il faut penser qu'il est tout à fait possible qu'il y ait d'autres formes de vie que la nôtre dans l'univers."


    Source:
    http://www.ufologie.net/htm/stjeandugard72f.htm


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