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    A la découverte de Mars

    La Mairie du 15e, en partenariat avec l’Agence Spatiale Européenne, la
    NASA, Histoires d’Espaces, Hollywood Soucoupes et le Club Apollo
    , vous
    fait découvrir Mars samedi 21 juin 2014.

        * De 13h à 14h : venez découvrir dans la salle St-Lambert les
    expositions martiennes de l'association Planète Mars, et "Hollywood
    soucoupes " de l'association Les Gentlemen Collectionneurs.


        * De 14h à 14h40 :  Jean-Marc Deschamps (journaliste, auteur
    collectionneur) vous présentera : "Hollywood soucoupes : les soucoupes
    volantes, des faits à la fiction"


        * De 14h40 à 15h15 : Pierre Baland (responsable commercial de
    l'industrie aérospatiale,  auteur et conférencier sur l'histoire de
    l'espace) proposera un débat au public sur le thème :  "Hier la Lune,
    demain Mars, quels parallèles ?". Il dédicacera également son ouvrage
    "de Spoutnik à la Lune".


        * 15h15-16h : Alain Souchier (président de l'association Planète
    Mars) vous fera découvrir la planète Mars à travers ses
    particularités, les sondes martiennes, les simulations de missions sur
    Terre et  l'avenir des missions humaines.


        * 16h-16h45 : la question de la vie sur Mars sera abordée par
    Pierre Brisson (président de la Mars Society Switzerland)


        * 16h45-17h30 : découvrez les scaphandres spatiaux martiens avec
    Jean-François Pellerin (écrivain et journaliste scientifique, membre
    du conseil d'administration de l'association Planète Mars)

    Mairie du 15 – 31 rue Péclet.

    Source:

    http://www.mairie15.paris.fr/mairie15/jsp/site/Portal.jsp?document_id=17518&portlet_id=545&comment=1¤t_page_id=195


  • Cette découverte grâce au télescope spatial américain Kepler, conforte la probabilité de trouver des planètes soeurs de la Terre dans notre galaxie, la Voie Lactée, estiment ces scientifiques dirigés par une astronome de la Nasa et dont les travaux paraissent jeudi dans la revue américaine Science.

    "C'est la première exoplanète de la taille de la Terre trouvée dans la zone habitable d'une autre étoile", souligne Elisa Quintana, astronome du SETI Institute au centre de recherche Ames de la Nasa, qui a mené cette recherche.

    "Ce qui rend cette découverte particulièrement intéressante c'est le fait que cette planète baptisée Kepler-186f est de taille terrestre en orbite autour d'une étoile dite naine rouge, plus petite et moins chaude que le Soleil, dans la zone tempérée où l'eau peut être liquide", précise-t-elle. Ces étoiles sont les plus fréquentes dans la Voie Lactée avec 70% du total.

    Cette zone est dite habitable car la vie telle que nous la connaissons et qui dépend de l'eau, a la plus grande probabilité de s'y développer, relèvent ces chercheurs.

    Pour Fred Adams, astronome à l'Université du Michigan, "il s'agit d'un pas important dans la quête pour découvrir une exoplanète identique à la Terre", l'objectif de la mission Kepler.

    Sur les près de 1.800 exoplanètes détectées depuis 1994 une vingtaine sont en orbite autour de leur étoile dans la zone habitable. Mais ces planètes sont nettement plus grandes que la Terre et de ce fait il est difficile de déterminer si elles sont gazeuses ou rocheuses.

    -A 490 années-lumière du Soleil-

    Selon les modèles théoriques sur la formation planétaire, des planètes dont le rayon est inférieur à 1,5 fois celui de la Terre ont peu de chance d'accumuler une atmosphère épaisse comme les planètes gazeuses géantes de notre système solaire.

    "Nous avons appris ces dernières années qu'il y a une nette transition entre les exoplanètes dont le rayon dépasse 1,5 fois celui de la Terre", note Stephen Kane, astronome à l'Université d'Etat de San Francisco, un des co-auteurs de la découverte. "Lorsque leur rayon mesure entre 1,5 et 2 fois le rayon terrestre, les planètes deviennent suffisamment massives pour accumuler une atmosphère épaisse d'hydrogène et d'hélium", dit-il.

    La planète Kepler-186f a un rayon de 1,1 fois celui de la Terre. Elle entre ainsi dans la catégorie des planètes rocheuses de notre système solaire comme la Terre, Mars ou Venus.

    "Vu la petite taille de cette exoplanète, il y a de grandes probabilités qu'elle soit rocheuse et qu'elle ait une atmosphère. Si cette atmosphère offre de bonnes conditions, l'eau peut exister à l'état liquide en surface", explique à l'AFP Emeline Bolmont, chercheuse de l'Université de Bordeaux qui a participé à cette avancée.

    Elle souligne que ces conclusions sont fondées sur des extrapolations car "pour être sûr qu'elle soit rocheuse il faudrait avoir la masse de la planète ce qui n'est pas possible avec les instruments actuels".

    Kepler-186f se trouve dans un système stellaire à 490 années-lumière du Soleil (une année lumière équivaut à 9.460 milliards de kilomètres) comptant cinq planètes toutes de taille proche de celle de la Terre mais seule Kepler-186f est dans la zone habitable.

    Elle orbite son étoile en 130 jours et reçoit un tiers de l'énergie lumineuse que la Terre obtient du soleil.

    "Les futures missions de la Nasa comme le télescope spatial James Webb (qui succédera à Hubble en 2018 et sera plus puissant, ndlr), pourront découvrir les exoplanètes rocheuses les plus proches et déterminer leur composition ainsi que la nature de leur atmosphère", a dit Paul Hertz, directeur de la division d'astrophysique de l'agence spatiale, lors d'une conférence de presse.

    Fin 2013 des astronomes avaient estimé que des milliards de planètes de taille terrestre en orbite autour d'étoiles similaires au Soleil dans notre galaxie seraient potentiellement habitables.

    Les chercheurs s'étaient basés sur les données des trois premières années d'observation de Kepler lancé en 2009 pour scruter plus de 100.000 étoiles ressemblant à notre Soleil situées dans les constellations du Cygne et de la Lyre.

    Source:

    http://actu.orange.fr/une/decouverte-de-la-1ere-exoplanete-habitable-de-meme-taille-que-la-terre-afp_2942756.html


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  • "Le 29 Mars 2014, partout sur la planète, des millions de personnes vont éteindre leurs lumières à partir de 20h30, pendant 60 minutes.

    L'objectif de ce geste: soutenir la lutte contre le changement climatique. Cet évènement est organisé par le WWF et soutenu par de nombreuses associations, y compris dans le domaine de l'astronomie... car éteindre nos lumières, c'est aussi se battre contre la pollution lumineuse. "

    L'équipe d'ODH Tv soutient l'initiative Earth Hour dans le cadre du partenariat avec le site Rallumons le ciel.

    Source:
    http://www.astropleiades.fr/agenda/earth-hour-2014.html

    http://youtu.be/ektl4rZyFUs


  • Au cours d'un séminaire organisé par la JAXA a donc été présenté le projet de système réutilisable envisagé par la JAXA, ses objectifs et la structure de la communauté scientifique qu'elle a initiée au Japon autour de ce thème.


    Vue d'artiste du projet JAXA de booster à turboréacteur aérobie, au sol
    Crédits : JAXA

    Le renouvellement du plan spatial japonais au début de l'année dernière a donné lieu à une inscription claire du besoin de réflexion sur les directions à prendre dès à présent pour préparer les moyens de transport spatiaux du futur, à l'horizon 2040 - 2050. Un groupe de travail, baptisé "Vision à long terme pour le transport spatial" et composé d'universitaires, d'industriels et de membres de la JAXA a été mis en place pour répondre à ce besoin. Ce groupe s'est réuni 7 fois au cours du second semestre 2013 et a donné naissance à la communauté japonaise du transport réutilisable, chapeautée par la JAXA et dont la mission est de définir les objectifs à atteindre afin de répondre aux besoins des marchés futurs puis de proposer et de développer les solutions technologiques à même de répondre aux enjeux. Cette équipe mène également de projets de recherche collaborative avec de nombreuses universités japonaises ainsi qu'avec des start-ups du domaine spatial.


    Vue d'artiste du projet JAXA de booster à turboréacteur aérobie, en phase de séparation avec son étage supérieur
    Crédits : JAXA


    Les trois mots clefs mis en avant pour la réalisation d'un projet de système de transport réutilisable sont : faible coût, flexibilité et répétabilité à haute fréquence. La spécificité d'un système réutilisable permet de nombreuses applications disruptives, que nous ne détaillerons pas ici. Trois d'entre elles sont avancées par l'équipe de définition d'une mission de référence comme particulièrement importantes : le transport de satellites (aller et retour en fin de vie ou pour maintenance, recharge en carburant...), le transport de personnes (missions habitées, tourisme spatial, transport aérien rapide), et le transport de marchandises lourdes de et vers l'espace (solaire spatial, exploitation minière...)....

    Sources:

    http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/75089.htm 


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  • L'académie des sciences de Chine (CAS) développe actuellement cinq satellites scientifique, dont DAMPE (Dark Matter Particle Explore) qui sera consacré à la détection des particules de "matière noire". L'hypothèse de l'existence d'une telle matière n'a toujours pas été validée empiriquement parce que les contraintes techniques sont énormes, mais elle pourrait constituer un quart de la densité d'énergie totale de l'Univers observable. La recherche sur un tel sujet est donc d'intérêt majeur pour la cosmologie moderne.

    DAMPE fait partie avec le Hard X-ray Modulation Telescope, les Quantum Experiments at Space Scale, Shijian 10 et Kuafu d'un ensemble de satellites scientifiques issus du plan innovation 2020 déterminé par le conseil d'Etat en 2010. Ce satellite devrait être injecté prochainement (entre 2014 et 2016) sur une orbite héliosynchrone par un lanceur Longue Marche 2D à partir du centre de lancement de Jiuquan dans une date proche. Il est actuellement développé par des instituts de la CAS (l'Institut de physique des hautes énergies, le centre national des sciences spatiales, le Purple Mountain Observatory, l'université des sciences et technologies de Chine) et les universités de Genève, Pérouges et Bari.

    Ce satellite sera composé d'un télescope spatial à haute résolution (ou tracker) qui observera les rayons gamma à hautes énergies, détectera les électrons et les rayons cosmiques. Il sera couplé à un calorimètre imageur qui utilisera des capteurs en silicium-tungstène pour mesurer avec précision leur énergie. Une double couche de scintillateur en plastique à détection de bandes (PSD) est censée réduire la marge d'erreur de l'instrumentation.

    Au-delà de la recherche sur la matière noire, ce satellite devrait donc permettre d'améliorer la connaissance des rayons cosmiques, leur origine et leur propagation. Il pourrait compléter les travaux des satellites Pamela lancé en 2006 par l'Italie, Fermi/Lat lancé par la NASA en 2008 et de l'AMS-02 lancé par l'ESA en 2011.

    DAMPE est l'illustration d'une dynamique engagée par la Chine sur les grandes questions de la recherche en cosmologie (les autres travaux se penchent sur les rayons X durs, la mécanique quantique la microgravité, la mécanique des fluides ou encore l'analyse des vents solaires). Il est à ce titre notable que cette dynamique soit engagée à travers des coopérations avec des acteurs européens.

    Source

    http://www.ambafrance-cn.org/archives_lettres.html?id_rubrique=1902&lang=fr :





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