• LDCETTEDu 6 décembre 2014 au 4 janvier 2015, l’Association Science Ouverte propose une manifestation inédite sur les drones, la robotique et l’impression 3D au château de Ladoucette à Drancy (93). Entrée gratuite.

    Dans ce cadre, aura lieu la conférence suivante :

    Dimanche 14 décembre 2014 à 15 heures : « Soucoupes volantes et OVNI sur le petit et le grand écran : à la croisée de la réalité et de la fantaisie » par Jean-Marc Deschamps, président de l’association Les Gentlemen Collectionneurs.
     
     
    Nous remercions Thierry Rocher pour l'information.

  • photo-groupeDidier Charnay organise un nouveau repas sur les ovnis « Ovni à Table », avec une conférence, à Bourg-en-Bresse le vendredi 5 décembre 2014 à 19h00 au Restaurant Bon Accueil, 13 rue Gabriel Vicaire (parking gratuit à partir de 19h à la Grenouillère à 100 mètres).
    Repas : 14€ (boissons non comprises)

    Titre de la conférence :
    « 40 ans d’enquêtes et de témoignages ovnis dans la région (01, 38, 39, 71…) et de rencontres avec des témoins célèbres » par Bruno Mazzocchi

    A propos de la conférence :
    Bruno Mazzocchi est un enquêteur et un ufologue de terrain qui a parcouru à maintes reprises les départements de notre région, l’Ain évidemment, l’Isère où il a résidé de nombreuses années, mais également le Jura et la Saône-et-Loire. Il a lui-même fait quelques observations insolites (1967, 1976, 1986, 1990, 1995, 2013) dont il nous contera les plus extraordinaires et il a rencontré de très nombreux témoins au cours de ses enquêtes.

    Soucieux de toujours en savoir plus sur un phénomène qui n’a cessé de l’intriguer, il est parti à la rencontre de témoins et de contactés célèbres, en France ou ailleurs, dont il a pu partager un instant de confiance ou bien se lier plus durablement. De ces témoins, il a ainsi pu obtenir des confidences amicales qui n’ont pas toujours été diffusées dans les milieux ufologiques. Nous pouvons citer Jean Miguères dont il a été très proche, mais aussi Rose C.et Maurice Masse ou bien encore le Docteur X, Billy Meier et Pierre Monnet pour ne citer que les plus célèbres. Il nous parlera de certains de ces témoins remarquables.


    Bruno a également rencontré de très nombreux ufologues, spécialistes, militaires et autres personnes impliquées dans le phénomène ovni, que ce soit en France ou à l’étranger.
    Il pourrait ainsi nous nous livrer des montagnes d’informations pendant des heures voire des jours entiers, alors il devra se résoudre à ne nous présenter que l’essentiel et qu’une partie des anecdotes.


    Gageons que la soirée sera inoubliable pour l’assistance…

    Pour en savoir plus sur la soirée : www.ufolog.org/01soirtablepres.htm
    et sur la conférence : www.ufolog.org/01soirtableproch.htm 


  • MéheustGuy Loterre, responsable d'Ovni Paris, nous informe que le mardi 6 janvier 2015 au Comptoir Casino 2ème étage du centre commercial des 4 temps à la Défense côté Castorama pour je pense une très belle soirée Bertrand Meheust dont le sujet est présenté
    ci-dessous

    Science fiction et soucoupes volantes, trente ans après

    En juin 2007, les éditions Terre de Brume ont réédité Science-fiction et soucoupes volantes, paru en 1978, et épuisé depuis longtemps. J’ai conservé le texte original, mais je l’ai augmenté d’une préface d’une cinquantaine de pages et d’une iconographie inédite.

    Si j’ai tenu à remettre en circulation ce texte vieux de trente ans, c’est qu’à mes yeux le problème auquel il s’attaque n’est plus guère pris en compte dans les débats actuels, alors qu’il conditionne notre compréhension du phénomène ovni.
    Pour comprendre mon propos, il faut situer le contexte de ce livre. Je l’ai écrit entre 1975 et 1977, c’ est à dire en en pleine apogée de l’ufologie classique. L’idée prédominante était alors que la phénoménologie soucoupique transcende par son étrangeté tout ce que les hommes ont pu imaginer dans le passé . Les calages de moteurs, les téléportations, les faisceaux courbes ou tronqués, les examens médicaux, les contacts psychiques, les dématérialisations, les accélérations foudroyantes, tout cela, pensait-on, constituait des nouveautés absolues dont on aurait bien été en peine de trouver la trace dans les productions imaginaires antérieures de l’humanité. En d’autres termes, l’étrangeté radicale des rapports était invoquée par les commentateurs de l’époque comme une des meilleures preuves en faveur de l’objectivité du phénomène ovni. Les témoins n’avaient pu imaginer leurs expériences, d’autant que, rapportées en divers endroits de la planète, elles présentaient des analogies troublantes.

    Aujourd’hui, avec du recul, cette conviction paraît bien naïve. Il nous paraît étrange que la proximité des rapports d’ovnis et des thèmes de la SF n’ait pas été immédiatement perçue. Mais l’expérience historique nous montre qu’une mythologie naissante n’apparaît jamais comme telle aux yeux de ceux qui la vivent, et se donne au contraire comme la réalité même. À l’époque, cette ignorance était favorisée par un cloisonnement des milieux concernés. Les ufologues et les amateurs de SF s’ignoraient, et parfois se dédaignaient, pour ne pas dire plus. Entre ces deux mondes l’information circulait peu . Il se trouve que vers 1975 j’étais un des rares ufologues à m’ intéresser à la vieille SF populaire. C’est ainsi que m’est venue l’intuition développée dans Science-fiction et soucoupes volantes.

    Cette intuition peut se résumer en une phrase : quand l’ovni paraît, le copyright est déjà pris depuis longtemps. La forme et le comportement des objets aériens, les effets qu’ils produisent sur l’environnement matériel et humain, la faune des humanoïdes, les moteurs qui calent, les phares qui s’éteignent, les témoins téléportés ou « pompés » dans des rayons de lumière, les fééries lumineuses, les contacts psychiques, les enlèvements, les examens médicaux, les implants, bref tous les effets spéciaux que décriront les témoins d’ovnis à partir de 1947, ont leur équivalent précis dans des vieux textes de SF écrits entre 1880 et 1945. Pour dire la chose autrement, la phénoménologie soucoupique, surtout dans les enlèvements et les rencontres rapprochées dites de « haute étrangeté », répercute et réorganise dans le vécu le bagage de stéréotypes imaginé jadis par les écrivains de SF pour mettre en scène l’irruption des extraterrestres ou les menées démoniaques des savants fous. Le portrait robot des ovnis qui se cristallise au début des années cinquante, et qui est resté gravé dans nos esprits, a été forgé à partir de représentations empruntées à la SF populaire de la première moitié du XIX° siècle, par des acteurs qui sont allés puiser inconsciemment dans ce répertoire. Il est impossible de progresser dans la question des ovnis tant que l’on ne s’est pas pénétré de cette idée.

    Ma conférence se composera de deux parties distinctes. Je prouverai d’abord la coïncidence SF-SV par des documents visuels. Je montrerai ensuite les interprétations que ce constat suggère, et me demanderai comment l’ufologie peut le surmonter sans tomber dans le réductionnisme. Je m’intéresserai particulièrement, sous cet angle, aux ovnis du passé, qui me semblent une voie féconde pour comprendre le phénomène . Je reviendrai aussi sur le lien que j’avais établi en 1978 entre les ovnis et les phénomènes paranormaux.


  • 10427282_804890499557050_3721965846884701662_nGuy Loterre, responsable d'Ovni Paris, nous informe que le mardi 2 décembre 2014 au comptoir Casino à la défense au centre commercial des 4 temps , 2ème étage zone kiwi coté Castorama Didier Leroux et Jean Luc Rivera pour la présentation du dernier ouvrage de Didier Leroux et de Jean Goupil "OVNI et intelligence extraterrestre LA REVELATION" éditions le Temps Présent prix :19,50€


    Ce livre commence par exposer en quoi consisterait un voyage interstellaire, c’est-à-dire d’une étoile à une autre ; voyage autrement difficile qu’une expédition terre-lune avec laquelle le grand public est familiarisé aujourd’hui.


    Il donne des explications relatives aux projets existants tels que Icare ou Dédale, basés sur les moyens de propulsions actuellement connus, ou extrapolés des techniques actuelles, et apporte des précisions intéressantes et des conclusions parfois inattendues.
    Il ressort de cet examen des possibles que, pour des raisons évidentes, ces voyages ne peuvent être confiés qu’à des « machines », des robots intelligents, ce que l’on appelle aujourd’hui des intelligences artificielles (IA).
    Il y a très peu de chances de voir des extra-terrestres en chair et en os débarquer de leurs ovnis, sauf à prendre en considération des moyens de transport qui relèvent aujourd’hui de la pensée spéculative et non d’une extrapolation légitime faite à partir de nos connaissances actuelles.
    Le présent livre reprend l’hypothèse des champs de force utilisés comme moyen de propulsion des ovnis. Cette hypothèse avait été développée dans un premier livre, Les ovnis une intelligence artificielle, par Jean Goupil (Ed. Le temps présent, 2012).
    Là où ce nouveau livre se démarque du premier, c’est qu’il va beaucoup plus loin en exposant tout ce qu’une civilisation avancée pourrait obtenir d’un recours notamment à la nanotechnologie. Celle-ci consiste en la miniaturisation extrême d’outils, de machines, et même de robots.

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    Avec de tels moyens, il est facile de simuler des apparitions de toutes sortes, du genre de celles que nous classons habituellement dans le domaine du religieux ou du paranormal (fantômes, monstres, et… ovnis).
    Dans la partie du livre intitulée « IET et paranormal », les auteurs expliquent comment l’on peut donner l’apparence de ce qui est censé relever du paranormal au moyen d’une technologie n’ayant rien de terrestre, ni de magique. Matérialisations, lectures de pensées, visions de paysages et de personnages extraordinaires, dialogue avec les morts, tout est possible. A ce propos, le journal Le Parisien du 25/02/2014 annonce qu’un site américain, Eterni.me, propose à ses clients de redonner une personnalité virtuelle à nos chers défunts, en retraitant l’ensemble des mails et autres informations laissées par le disparu. Ses amis et héritiers pourront ainsi correspondre en temps réel avec celui-ci, lui poser des questions, dialoguer avec lui, etc. Un logiciel informatique se substituera à la personne et le but sera de donner aux échanges l’aspect le plus réaliste possible, en allant jusqu'à une imitation convaincante des pensées et des croyances du défunt.
    Une lecture superficielle de ce livre pourrait amener le lecteur à la conclusion qu’il s’agit de démontrer que les religions sont mensongères, les médiums de simples illusionnistes, et le dialogue avec les morts une pure chimère. Il n’en est rien. Nous voyons tout au long de ce livre la démonstration de la présence, déjà ancienne sur notre terre, d’une civilisation extra-terrestre qui se coule dans le moule de nos croyances et religions dans un but qui reste soigneusement dissimulé.
    C’est dans ce but que réside la grande question : « Pourquoi, et que veulent-ils ? ». Les auteurs ont choisi « d’expliquer Dieu par ses œuvres », comme dirait un théologien, plutôt que d’extrapoler des intentions, fussent-elles bonnes ou mauvaises.
    Tel qu’il est, ce livre représente une formidable avancée dans la démonstration de l’existence des ovnis et la preuve que les moyens dont ils disposent ne nous sont nullement inaccessibles. Ils relèvent d’une civilisation avancée et ne sont pas au-dessus de ce que nous pouvons comprendre. Nous ne sommes pas des singes dans un zoo, incapables de saisir les motivations profondes de leurs visiteurs.
    Rien de comparable à ce qui figure dans ce livre n’a jamais été tenté dans le domaine ufologique en France.
    A la fin du livre figure une notice technique avec laquelle les lecteurs férus de chiffres pourront mieux satisfaire leur curiosité.

    Jean Goupil est ingénieur électronicien
    en 1960 s'intéresse à l'ufologie et rencontre Aimé Michel et René Hardy .
    En 1964 il fait parti du GEPA Et y rencontre Didier Leroux . En 1975 il écrit un chapitre du livre de Jean-Claude Bourret, (la nouvelle vague des soucoupes volantes), texte qui est repris dans OVNI, 1999 le contact ?. Il a également écrit plusieurs articles dans la revue de phénomènes spatiaux et dans lumière dans la nuit.

    Jean Goupil aujourd'hui décédé a eu la très mauvaise idée de nous abandonner le 18 juillet 2014 à la suite d'une longue maladie.

    Didier Leroux est un érudit intéressé par les sciences exactes, mais également par l'ésotérisme et le folklore . il participe à diverses recherches aussi bien en ufologie qu'en parapsychologie et dispose d'une documentation très vaste sur ce sujet. Il a écrit des articles dans la revue lumière dans la nuit et dans la gazette Fortéenne.
    pour cette présentation du 2 décembre 2014 il sera secondé par Jean-Luc Rivera.


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    L'association OVNI-Languedoc propose à Pérols ce vendredi 7/11 une soirée exceptionnelle avec Marc Saint-Germain, auteur et ufologue québecois qui défend l'idée controversée d'une présence extraterrestre depuis la nuit des temps. Dans son dernier livre, Les gardiens du silence, il s'applique à démontrer l'implication du gouvernement des Etats-Unis dans la censure sur les ovnis et la présence des extraterrestres sur Terre.

    Rendez-vous à 19h à l'étage du Flunch de la galerie commerciale d'Auchan à pérols.





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