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    "Nous avons le soutien de notre ami américain Ken Pfeifer du Mufon New Jersey qui nous envoie par mail divers témoignages qu’il recueille outre atlantique.

    La recherche ufologique passe par les témoignages, le crédit des témoignages par les preuves.

    En absence de celles-ci , il faut creuser.

    Le domaine aéronautique est largement sollicité , il appartient donc de répertorier les inventions, les prototypes et les appareils existants.

    Autre secteur à prendre au sérieux, en compte,  est évidemment la filière scientifique. Afin de comprendre si une vie peut exister ,résister  puis se développer tout en évoluant , seule la science a les moyens de le faire.

    Les profondeurs maritimes n’ont pas encore révélées tous leurs secrets, en effet il n’ y a pas si longtemps la science ne pensait pas que la vie soi possible au delà de 1000mètres de profondeur. Le phytoplancton végétal marin réalise sa photosynthèse avec la lumière du soleil ainsi, il lui faut rester vesr la surface de la mer, là où le soleil peut pénétrer.

    Une cellule de phytoplancton est constituée de minuscules particules vertes  , les  chloroplastes.

    Le phytoplancton vit donc dans les eaux pénétrées par le soleil à une profondeur de 200 mètres.

    Ces 200 mètres ne représentent que 5 %  des océans et pourtant cet espace suffit à nourrir toute la faune , les 95% restants ne sont qu’obscurité et profondeur totalement incompatible  à la survie du phytoplancton.

    Ce n’est quà partir du 19 ème siècle que la recherche scientifique a commencée à s’intéresser aux fonds marins.

    En fait nous n’en savons  pas  beaucoup  plus de nos abysses que du cosmos.

    Les témoignages des  P.A.N  ( phénomènes aériens/ aérospatiaux non identifiés ), sont nonbreux, tandis que sur les O.A.N.I.S / O.S.M.N.I  ” objets aquatiques non identifiés ou objets sous- marins non identifiés” il y en a beaucoup moins.

    Faudra sans doute parler dans certains cas de phénomènes aquatiques et sous- marins non – identifiés.

    Pourtant un fait rassemble les deux types d’observations ( entre les P.A.N et les O.A.N.I.S) . Lorsqu’un O.A.N.I quitte l’eau pour s’envoler il devient unO.V.N.I ( objet volant non -identifié) au même titre que lorsqu’un O.V.N.I plonge dans l’eau il devient un O.A.N.I.

    Une idée selon moi se dégage peu à peu , celle qu’une part de réponse pourrait venir de la mer concernant la vie possible dans l’espace.

    Alors, il me semble primordial, d’orienter avec plus d’insistance la recherche sur le secteur maritime."

    Source:

    http://investigationsoanisetoceanographiee.wordpress.com/

     

    Nous soutenons leur site et investigation OANI.

    Cordialement

    ODH Tv


  • ml1
     

    … On ne saurait dire s’il s’agit de machines munies d’équipages ou de sortes d’êtres vivants, d’animaux, qui, sans que nous sachions d’où ils viennent, pénètrent dans notre atmosphère…

    …Tel un astre du fil de Kronos, messager du ciel, monstre qui enlève marins et troupes d’un vaste camp, brillant d’où jaillissent des milliers d’étincelles…
    (Iliade d’Homère, IV, 75-77)

    Ce monstre Aérien, lumineux qui kidnappe des gens assimilé à un animal inconnu était-il une ancienne apparition d’OVNI?
    Les anciens nous ont ainsi fait partager aux travers de leurs mythes et légendes des histoires d’animaux gigantesque vivant dans le ciel, au royaumes des dieux et venant régulièrement sur Terre pour enlever des gens. Du serpent, aux Dragons en passant par le cochon volant qui faisait des ravages dans la région de Clazomènes ou encore le serpent volant à tête de faucon évoqué chez les Egyptiens, les Phéniciens et d’autres peuples qui de part ses yeux éblouissants pouvait croître de taille, envoyait un souffle puissant s’apparentant au feu, volait dans le ciel à une vitesse inégalée et réalisait des mouvements tourbillonnants ainsi que des figures extrêmements variées… Cela ne vous rappelle-t-il pas quelques caractéristiques des OVNI?

    “…l’existence possible de quelque sorte d’étranges animaux extraterrestres a été aussi envisagée vaguement, car plusieurs de ces objets décrits se comportent plus comme des animaux que comme autre chose. Mais il existe peu de rapports dignes de foi sur les animaux extraterrestres…” (Communiqué M-26-29, USAF, 27 Avril 1949)

    Ce que vous venez de lire est un extrait du communiqué M-26-29 de l’USAF, daté du 27 Avril 1949. A cette époque, et jusqu’aux années 1960, une hypothèse en vogue concernant les OVNI postulait que ces derniers sont en réalité des animaux de la haute atmosphère. Leur comportement “intelligent”, empreint de curiosité envers les activités humaines, leur attitude “d’attirance-répulsion” (on s’approche, on s’éloigne à grande vitesse, on se rapproche à nouveau comme pour observer de plus près…), parfois semblable à celle d’un animal de compagnie, peut, en effet, laisser suggérer une telle hyporthèse.

    Dans l’affaire de l’Amarante datée du 21 Octobre 1982, où un scientifique put observer un OVNI à très courte distance (il aurait pu le toucher) durant 20 minutes, se retire également l’impression d’un objet animé, doué d’une certaine forme de vie propre. Ce fut aussi le sentiment de l’observateur:
    “j’avais l’impression que c’était quelquechose qui était vivant…” confiera-t-il aux gendarmes.

    Ce comportement animal des OVNI se retrouve dans les “Saucer nest”, les “nids de soucoupes”. Cette expression fut utilisée pour la première fois en Australie, dans le Sun h”rald de Sydney, daté du 23 janvier 1966. Le planteur Georges Pedley, de Tylly (Queensland) rentrait dans sa ferme en tracteur, lorsqu’il entendit un sifflement. Soudain, il vit s’élever du marécage proche une grosse machine de couleur gris bleuté, d’apparence métallique. Elle tournait sur son axe à une vitesse extrêmement élevée. Elle monta à une vingtaine de mètres du sol, puis elle fit un léger mouvement vers le bas, avant de grimper rapidement au ciel où elle disparut en quelques secondes, à une vitesse fantastique, vers le sud-ouest. Les enquêteurs de la Royal Australian Air Force découvrirent au milieu des roseaux du marais une zone circulaire où tout était écrasé, les tiges étaient couchées les unes sur les autres dans le sens dextrogyre. Ce cercle, d’un diamètre d’environ 10 mètres était nettement délimité. Les enquêteurs, interviewés par le “Sun hérald”, précisèrent que l’endroit se présentait “comme si une énorme poule d’eau géante y avait fait son nid”. On batti la région et l’on découvrit d’autres nids semblables, de mêmes dimensions, dans cette région. Depuis, on en a découvert dans d’autres pays.

    L’anglais Gérald Heard songeait à des abeilles martiennes; tandis que d’autres, au vu des filaments qui pendent parfois de ces manifestations aériennes, évoquaient des sortes de “Méduses Stratosphériques”.

    Le 07 octobre 1954, à Béruges dans la Vienne, un témoin qui dormait est réveillé par une intense chaleur. ” Voyant le ciel illuminé, j’ai cru à un incendie ou à un beau clair de Lune, mais je me suis rappelé que la Lune était couchée depuis minuit. Je me suis levé, et, de ma fenêtre, j’ai pu voir un énorme champignon lumineux qui descendait vers le sol à une quarantaine de mètres de ma ferme. La forme lumineuse se pose sur la route et s’éteint. Puis un énorme phare qui m’a semblé muni d’antennes sur son pourtour a balayé les environs. “
    Le témoin court réveiller son père, quand ils reviennent à la fenêtre tout avait disparu.

    Le 31 mai 1955, un cultivateur à Puy St Gulmier, aperçut un de ces Ovni-méduse. Un objet circulaire, d’environ 1,20m, blanc, très lumineux mais non éblouissant. Il était entouré d’une multitude de prolongement de la grosseur d’un doigt, de longueurs diverses (0.50m à 2m), des sortes de filaments ou rayons matériels de couleur blanche, jaunâtre et bleue. Ces prolongements s’agitaient autour du cercle et ceux du bas faisaient remuer l’herbe en la touchant. Son comportement rappelle celui d’un animal très joueur.
    Citons la déclaration du témon à ce sujet:
    “…Je fis quelques pas en m’éloignant de cette apparition et chaque fois que je me retournais,je constatais que l’objet me suivait, en conservant entre lui et moi la même distance c’est à dire 2,50 à 3 mètres. Nous fîmes ainsi une vingtaine de mètres. Alors, levant mon bâton, qui me sert à mener mes vaches, j’ai marché vers la chose, qui se mit à réculer mais en conservant la même distance d’écart entre la chose et moi…”

    Dans quelques cas, le rayon lumineux de l’OVNI peut vraiment faire penser à une chose intelligente, au tentacule d’un animal.
    Selon Léonard Cramp, ces Méduses lumineuses sont chargées d’énergies électrique et munie d’une masse sans importance. Elles auraient la peau métallique argentée, et habiteraient normalement à 75 000 mètres au-dessus de la surface du globe. Leurs yeux assureraient une fonction semblable au radar, d’où leurs réactions si rapides.

    L’un des chercheurs à privilégier durablement cette piste fut Trévor James Constable. Son livre: “They live in the sky” (1958) défend l’hypothèse de l’existence de créatres vivant dans la hute atmosphère, créatures qu’il nomma “critters”.

    En 1959, la revue Flying Saucers publia le récit d’un rencontre qui se déroula en 1925 dans le désert du Nevada, USA. Des témoins observèrent un objet en forme de soucoupe de 2.50m de couleur rouge munie d’un trou sur sa partie supérieur qui s’ouvrait et se refermait, le corp de l’engin ressemblait à du formica selon les témoins. La créature semblait être bléssé au niveau du fameux trou qui ressemblait plus à une “blessure” qu’à une zone de respiration puisque, la chose a décollé en faisant briller toute sa surface sauf à l’endroit du trou mais est retombé de suite. Quelques minutes plus tard une autre créature d’une dizaine de mètres se rapprocha, et sans se préoccuper des témoins, elle se positionna au-dessus de la plus petite en y disposant 4 tentacules en forme de ventouses. Puis quand le critter apparemment blessé devint si brillant qu’il était presque impossible de le regarder, tous deux s’envolèrent ensemble et disparurent à vitesse prodigieuse.

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    Les Ovni ont parfois et même souvent des formes variées qui ressemblent sans nul doute à des choses que l’on connait, certes on pourrait se demander s’il n’y a pas une mauvaise interprétation de la part de l’observateur mais cela est un autre sujet. Intéressons-nous aux formes qui nous rappellent étrangement les animaux aquatiques dans les cas de ce dossier.

    Le 17 octobre 1954, à Préchac en Gironde, un témoin observa un engin bleu en forme de têtard d’environ 2 mètres de haut et 4 mètres de long. Mince prolongement recourbé et deux hublots blancs vers l’arrière de l’engin. Celui-ci se serait posé en forêt. La description sommaire qui nous est parvenue de ce cas et certains détails peuvent faire songer à un hélicoptère. Oui mais, le témoin est un gendarme, aurait-il pu confondre un hélicoptère avec un phénomène bizarre. Il raconta son aventure le lendemain matin, à ses collègues de la brigade de gendarmerie, mais aucune trace ne fut trouvée sur les lieux.

    On pourrait se demander si ces “choses” sont des animaux stratosphériques comme le suggéraient les chercheurs dans les années 1950 où alors est ce des animaux inconnus vivant dans les profondeurs abyssales qui viendraient chercher une sorte de “nourriture” à la surface?

    Possible voir impossible.
    Le phénomène Ovni ou Oani est tellement complexe que les spéculations et autres théories parfois absurdes sont envisagées pour expliquer ce que l’on ne peut expliquer à l’heure actuelle. Certes nous frôlons peut-être la vérité à ce sujet mais nous ne la voyons pas pour le moment car chaque apparition du phénomène ou des phénomènes est différent des uns des autres, nous pouvons avoir un détail qui se recoupe avec d’autres observations mais hélas ce n’est pas souvent. A croire à force qu’il n’y a pas QU’UN phénomène mais DES phénomènes qui ont des origines et sources différentes.

    J’aimerais finir cet article par une citation qui m’a été envoyé dernièrement sur mon mur facebook de la part d’un ami, une citation de Jacques Vallée en 2011:
    “…Ceux à quoi nous avons à faire est bien plus complexe que l’humain puisse l’imaginer.”

    THOMAS Gilles

    Sources:
    Ovni, Premier dossier complet… par Figuet M./ Ruchon J.L. ** éd. Alain Lefeuvre 1979
    Sur la piste des bêtes ignorées par Bernard Heuvelmans, Pion, tome, II
    Iliade d’Homère, IV, 75-77
    Base Ovni France: http://baseovnifrance.free.fr/index.php
    Ovnis, 40 études sur les mystères du ciel de Fabrice Kircher Editions le temps présent, collection Enigma.

     

     

     





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